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r 814 L'e/prit d!l Religieux ' ' mediocre , & n'écoic bonn que pour les parfaiu. Ot1 bien difons, que comme la. profeffion Religieufe dt fcmblable au facrement de Ba– tême , pui(que, felon les Do– éleurs, elle nous re.fiirnc n8tre . . , rr prenuere innocence ; qu ;iuJ.U la ratification que nous en fai– fons par le renouvellement de nos vœux, efl une efpece de facreinent de · Confirmation qui nous donne une gti.ce de fermeté inebranlable a~ fervi– ce de Dieu. C'efr la penfée de Godefroi Abbé de Vend8me qui flori.lfoit il y a ~nviron .500. aos. Ce doc1e Abbé fai– fant le panegirique de fon Pa– triarche faine Beno1t dit ces belles paroles à mon propos. !erm•. Mona/hca Rcfigjo fecunda rege- tmdeci. . . I de s:Be- nerat10 71tre n1tnc11pat11r, a pro. mdia. feKi'on Religieufe e{l: appellée ~vec jufhcç une fcconde ré: