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me' fi. r t !t,i de J.C. g I? au ,lÎs ·ligieux qui fe fonc: om a. fatt rcb.chésde lct:r dc– "oir ; il cfl: certain qu'il y a a 1Œ t1nc cfpccc de confirma.- ion en gr:ice dans le bons,. ~ui font fidclc~ & cxad:s dans l obfervancc de leur vœux La. raifon cfl:, que leur volonté ffcrmie par le fccours de la. race qu'ils oc reçoivent ja– mais en vain , comme parle 'Ap8tre, dt fortifiée par une 01 gue habitude daos 1, pra.- 1q ues de la venu, qui forme ne feconde nature: eile ~• éta– blit d'une maniere fi confbn– te & fi folide dans le bien , qu'eiJefcmble n'ètre plus libre. pour le mal. C' dl: cette con– nrmation OU affcrmtiflfl1CflC ns une fainte & gcncreufe refolucion,que la fainre femme Judith demanda à Dieu , fa.– chant qu'elle ne ponvoit pas ravoir d'elle même. Car écan; Mm ,.