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fo . • é fi!r rcl11i de J. C. · 771 A,n:ur ta1fanc enfuice un jui .:: p.iulldc de l'ecat d'un Religieux tiedc , Uchc &. ne– g 1genc au fcrvice de Dieu, av c celui d'un granJ pe– ch.:ur, il dit ces paroles re- d l: l . d ;/; .1 11 T~m. z. outa) es. Non 11'/tnUS t1.ct C ej, 111p. l)o ,.b inveter11,t,o tepore t11d fervorcm nr1m.1i.. e-lirc , qu:im à pacato ad gra- Am rcfi 1 1gcre. Il n'eft pas moins ifficilc de faire retourner un eligieux , &. un Chrêtien retîc e dans la ferveur de fa prcrnierc dcvotion , que de convenir un pccheur, & le ire pa!fer de l'état du peché ' celui de la grace. C es paro– les font terribles , je l'avouë, ..iais elles font veritables. Car 41uoi qu'il paroiffe moins d'op– ofüion , dans l'ordre de la arure , encre un eau ciede & ne eau chaude, qu'encre une chaude & une froide, & que ar confcquem il foie plus fa"'.' KK 4