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f orme fur celtJi de J. C. fj ame ccoic de la nacure de celles · des bêres, Dieu {e concente– . raie du feul facrifice de n6cre corps. Mais comme elle dl; de la nature des Anges, il veut que 1101.1s reconnoiffions fon domaine, & n6cre dépendan– ce, par le facrifice entier du corps , & de l'efpric. Or comme cout ce qui dl r. I \ • d . " r.' comacre a D1eu, olt ecre 1e- paré du monde, & des ufages profanes; n'efl: - ce pas une ef– pece de facrilege, fi. pendant que'le corps du Religieux efr immole à Dieu dans le Clo1cre, comme for l'A ucel des holo– cauftes; fon cœur efl: faërifié comme une viél:ime à toutes les idoles du monde? n'efr-ce pas là le facrifice de Caïn qui n'o~roic à Dieu qüe les plus me chantes brebis de fes trou– peaux ? & ne peut-on pas dire de celuï-la, ce que l'Ecricurc Tom·. II, l. B