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farmé {,tr celui de]. c: , n'efr pas fi abfolu~, q1;1'il ne foie encore concra1nc d y de– meurer par les nece.ffitez de la vie civile,. & par les devoirs, de b focieté humaine. Voilà po urquoi la divine fa gdfe fait une rroi!iéme fepa.r:u:ion de ceux , qu'i l- appelle à un é tat plu s parfa it par les vœux de n:l.i,g.ion. Il le s éfoiglle te lle– ment d L1 1110-nde, qu'il n e veut: phi squ'ils ayent ni commerce,, ni lia1fon, nî focieié avec lui , non pas même de corps. Au ffi e fl: - ce à ~nx p\m parti:culiere– ment qu'âux Cbrériens , q ue s'adse{fe œtte parole de l'A– pôtre : Vos a11tem ù1 carne non Rom,,,.. ejiù ,fed inJ}iritt1: v-ous n'êtes· S,v • 9•· pl_us dans le monde fel o-n la chair; mais fe-lon l'efpri c; & comme la profoilion R eligieu- fe eft une mort mifüg:ue,.vous ne devez plus _vous t ro,uver· . parmi les vi vans. C' e!t ce Ggr1e: . A 1i

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