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' 1% fois | | 2% fois rall, S y PD | | 2 : [ ce N NÑ A MAA A pa POE Tun - kur-run ku - 0 L'art populaire peut-il arriver á un degré plus o e > LN? ? Les grands musiciens de finesse, de délicatesse haut eux-mémes, un Schumann. un Schubert ont-ils créé quel- que chose d'analogue dans ce genre ? En parlant de la chanson populaire, Tiersot, qui est un spécialiste dans la matiére dit une chose que Pon peut trés exactement appliquer á la chanson basque:; «Les hautes montagnes, donnent «¿ux mélodies qui se sont acclimatées sur- leúrs hauteurs quelque chose de leur almosphére ». 11 semble trouver dans ces mélodies qui viennent des montagnes, quelque chose de fluide, d'éthéré, une douceur pénétrante qui n'existe pas ordinairement dans celles de nos plaines. Je vais vous en taire apprécier une. Elle fut sans doute chantée par un jour clair, un de ces jours splendides que Von voit chez nous, car on n'y trouve pas seulement que du brouillard et de la pluie. Devant la la mére s'est installée sur un coin du traineau primitif grande porte, lPauvent du «loriua so0Uus quí sert, en automne, á transporter les fougéres rousses sur les flancs abrupts de la montagne el á travers les che- mins cahoteux. Elle regarde dans le ciel bleu et pur un