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hn wo Ñ — 16— bégaiements artistiques. Les civilisations respectives viennent ensuite cultiver et affiner ces éléments primitifs, et chacune arrive á un résultat différent. Dans la berceuse que je viens de citer,il y avait nette- ment dessiné un trait, un balancement mélodique. Dans certaines autres berceuses, il faut presque deviner un rythme dissimulé, latent, comme une ossature recou- verte de turgescences plus ou moins accusées. Vous pouvez faire cette constatation dans la chanson suivante: Alza eder, ur airian, Le bel aulne tout prés de la riviére, Iru arrosa Mayatzian, Trois roses, le mois de Mai. Amoriorikan ez duenak, Celui qui ra pas connu Pamour, Ez du minikan bihotzian. Na pas souffert dans son cosur. Que signifient ces deux premiers vers oú il est question de Paulne et des roses du mois de Mai ? Faut-il voir la Vécho de certaines littératures oú il est souvent parlé de trois chevaux, trois capitaines, trois demoiselles, trois enfants?... C'est lá un des mystéres de l'áme populaire. Bien que les paroles ne semblent pas destinées a endormir un enfant le contexte général, le caractére de la mélodie, le rythme qui flotte sur les notes, et surtout usage courant, ont classé cette mélodie primitive parmi les berceuses du pays : elle vient de la vallée du «Baztan ». ATAR A E DESA A. > N hh evo... 0 $ Pje e A . TAI Al-tza e-derur ai - ri-an O ma - ya DAA A A Y AD £ AE E la 2 tuiah, (A “mon 0 :n ENE De Ez du mi- ESON El as PEI AE ni -kan bi-o0 - tzi - an.

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