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Hz mére qui vit dans la solitude a inspiré aussi les strophes délicates que voici: Dors mon fils, dors. Je reste avec toi. Dors mon enfant sans pareil... Ne pleure pas, c'est trop tót pour toi, Si tu restes sur la terre Tu auras certes le Lemps De te rassasier de pleurer. Dors mon ange... Quoi tu réves ? Le sourire sur les lévres ? Qui done t'accompagne ? Quelles régions traverses-lu ? Sans La mére, Ne vas pas au loin. Dors, dors, c'est la nuit encore Le jour ne luit pas Point de lumiére nulle part Si ce rest celle des étoiles, En les voyant Je pense á toi. Eles wont pas d'éclat á cóté de toi. IV Mais tu te réveilles, Telle une colombe. Regarde les fleurs Que je t'apporte De ton pére et de ta mére T'es-tu souvenu lorsque tu révyais ? Avec un doux sourire, dis-moi que oui. Ce sont súrement des léevres féminines qui les premiéres ont fredonné ces mélodies : el remarquez comment la E

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