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204 LA VIE PROFONDE DE SAlNT F RANÇOIS D'ASSISE « Car la seconde mort ne pourra leur faire aucun mal. » Mais le mal e . . . b mpirai t. On le r entra dans la ca- ane. Il fallut . . d ' pour lm plaire répandre des cen- res sur lui C . . ' pl · ·· « ar , di sait-il, je ne serai bientôt us que poussière et cend1·e d » . Il pria aussi son gar ien de le d, A _ • • le d . . eve tir encore quand viendrait ermer mstant t d 1 n '-v . . e e le coucher sur le sol. I J avait plus qu ' . point . une cramte en lui, celle de ne mourir assez . .t. notre è - pauvre ... Le soleil déclinai , P re n 'avait l · quand l . P us la for ce de parler. Mais a nuit tomb ·1 dain 1 1 , . a , 1 §embla r ecouvrer sou· a P eilltude d . , ·t sur son 1 -t , e sa vie mor telle. Il s ass 1 i et dune . . ' , tait plu t , voix puissante , mais qui n e- s out a f ·t 1 t d 'au tr . ai a sienne et que soutenaieD es v01x il ré . ' cita le psaume de David : (( Ma voix clam s le S · e vers le Seig neur ma voix: ver . e1gneur s' ' l ' (< J e ance et prie. e verse mon o . 1 ·e devant l . . raison à ses pieds ; je dép 01 m ma tribulation <( Lorsque l ' . · espnt en nio · f · ·t de'faut , tu 8 ~ connu le d, 1 aisai - s etours de ma route ,