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:102 LA VIE P ROFONDE DE SAINT ' F R ANÇOIS D ASSISE porte •· 1 . , qu I s ~ rentren t par l 'autre , elle est le portique du ciel. - Frère Léon dis bien à tous les frères tou . ' . , s ceux qm sont et qui seront , dans toute l 'étend d 1 ue e a terre ét la profondeur du temps à ven· t, · , . Ir, e a nos sœurs les Pauvres Dames, , . . e mon cœur Sœ ur Claire, que je les et à la fille d bems auJ;a t . · . n que Je puis et encore plus que Je ne puis >; v l . D' ., ' ou ant signifier par là que ieu comblerait la · t mesure. Tous les frères .pleura1en · On le dépou·11 d i a e ses vêtements· on le coucha nu Sur la terre· l ' ' de , . , on entendait se reprocher n avoir pa , D s vecu dans l'absolu du dénuenient, es mains de son gardien il reçut l'habit de sa mort , avec la d · · et •i fi cor e, le capuchon, Jes braies, i It coudr a· c e une pièce dessus . Le vendre 1 ' omme on pou . l' . D ..,e s ff vait espérer et le craindre, aJJ• ou rance a · t' N pporta son renfort à Dame Pauvre e. otre Père cri . _ hl hl ait de douleur. En tous points seIJl a e à son M î . ·t 1 . · a tre, 1 1 demanda un pain, le bé 111 ' e rompit et 1 Il fi e partagea entre tous ses frères , se t 1· · ire l 'Ëv •i J' us· Ch • angi e du Jeudi Saint, où es nst lave les pieds à ses Apôtres; et il répéta par trois fois : « Vo.us uns aut vous ferez les

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