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186 LA VJE PROFONDE DE SAINT' FRANÇOIS D'ASSI.SÉ refusait elle se ·t , , ' rai reprehensible, comme le frère dont vous parlez et dont vous ne nous avez pas dit le nom c 1 . · e c air de lune vous donne tort, mon Père _ Et 1 1 · que est donc ce frère s'il vous Paît? (Un temp.s. ) ' FRANÇOIS 0 frère lllun · é . un , tu vois beaucoup de choses qui demeurent h, . cac ees aux hommes - et tu as raison en ceci Q . ,. ' , . · uoi qu il m en coûte de parler, Je ne saurais gard . peut er pour moi une révélation qui vous être hie f . . . . si n· , n aisante. Mais sachez bien que, ieu m a cho. . ' . null ISI, c est qu 'il n 'aurait su trouver e part d'argil l --... . te e P us gross1ere pour y man1fes- r sa maîtrise d l ·m . e sculpteur d'hommes et pour Y primer l'i mage de son Divin Fils - Asseyez· vous. Vous sa .· , è ' curez de moi ce qu'il fit. (To-as, mus, s asseyent à. se . Jus secret d . s pieds .) Or donc, au P e ma pr1èr . d' Jl Séra h' . e, vmt me toucher l 'appel u P in qui de • ·a com scendait du ciel d'un vol rap 1 e, me un aio-le d t s'arrêt o ans la tempête, et, pJanan ' a au-dessus d . , . • de feu aio- .. e mo1. Il avait six ailes ' o ues et fort ·tes sur sa tête es, et deux s'étendaient dro 1 ' deux en tr , voler avers s écartaient pour