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17 2 LA VIE PROFONDE DE SAINT FRANÇOIS D'ASSISE encore pour m'entèndre. Comme je disais les paroles que Lu as surprises, sache donc, pelit frère, qu 'un double jet de lumière frappa mon cœur, et j 'eus la connaissance de moi-même et, la connaissance de Dieu. « Qui -es-tu, mon Dieu, 'Dieu très doux? d' · · d I on- . » 1sa1s-Je, et mon .r egar p gea dans l'abîme infini et éclatant de sa sagesse. <c ?ui suis-je, moi? » et je vis à mes pie.ds s'ou– vrir celui de ma misère. Alors j 'eus honte qu 'il eût daigné m • . f as e visILer. cc François tu me er, trois dons o d ' L ' r onna la voix ·souveraine. - es- quels, Seigneur? je suis tout à Toi et n 'ai rien– - François cl h Jlle ' ierc e sur La poitrine! » Et, tâtant dans u 1. . is . n P I de ma bure je trouvai tro fruits d 'or et . f . ' ai par a1tement ronds et je les donn au Sei 0 neu E , té l' 0 r. t l un était le fruit de pauvre ' autre le fruit d h f uit d' b" - e c asteté, et le plus beau le r 0 e1ssance o •i , h de . · r 1 n y avait pas une tac e rouille, pas u . tes d ne piqûre de ver sur eux et, onnant je 1 (Uri l ' es possédais mieux encore. emps.) Va-t'en · · reste à a'· , , petit frère Brebis. Ce qui ire n est pas . . Diell f pour to1. Sous peu de Jours, era sur cette d 8 et montagne des choses si gran e

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