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LA VIE . PROFONDE DE SAINT FRANÇOIS n' Ass,·sE . et une clarté s'allumè dans les branches. Françofs étend les main,s. Frère Lêoni avance un peu.) Qui es-tu, mon Dieu, Dieu très doux? Et qui suis-je, vermine très vile ton inutile ' serviteur? . (La voi.x répond, il étend les mains;Frère Léon avance encore.) Qui es-tu, mon Dieu, Dieu très doux? Et qu· · · ·1 1 suis-Je, vermine très vile ton inuli e . ' serviteur? ' (La voix rl9pond 'l é . . · os- t , 1 tend les mams puis se pr erne, La flamme s'éteint.) ·' FR' • ERE LEON, se retirant Gloire au Se· . . · en . igneur, paix. à François et J01 e mo1 et dan l . . · 1 . . s e cœur de tous mes frères! Joie! Joie. J~i~ pour nous tous! Qu.'ainsi un des ·nôtres soit v1s1tél La · • · Joie i:ne fait parler trop fort; mais notre frère est trop l . • 0 m de moi pour m'entendre. (Il froisse fes f ·z·t p •œn,· Ço • eui · es en regagnant le pon,~. 1 · zs sans 8 t 0 re 0 umer appelle.) FRANÇOIS Frère Breb 1 ·s. (F Bre rère Léon s'q,rrête.) Frère ·