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QUATRJÈME TABLEAU 163 et il n 'oublie jamais que je vous dois rigoureu– sement et régulièrement servir. - Oh! je ne me · plains pas, je le répète; d'autant que mon âme, par vous saisie, soulève quelquefois mon corps jusqü'à hauteur de la cime des hêtres. Mais, Sei– gneur, quand je redescends ... , j'en sens comme une courbature. Je cberche l'aliment spirituel ~e l'âme qui réconforterait en même temps mon corps. Seigneur, j'ai essayé de· porter votre croix; elle était trçp lourde pour moi. Laissez-moi son– ger à la gloire sans fin et à la joie san~ mesure des bienheureux, dans la forêt de la vie éternelle! ·Est-ce trop prendre sur ma quarantaine de pé– che~r et de pénitent? Ne m 'est-il pas permis de é l· ' la coupe puiser une goutte de fprce ang 1que a où ils boivent et ·dont ne tarit point le ilot?. Il , t Ils vous voient Ils vous voient. s vous voien . · Un et iriple. Seigneur' mon .âme est un brasier d, amour pour vous. • ·• ? Quand vous verrai-3e • d t O · Verbe Ils vous enten- Ils vous enten en . · dent.