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158 LA VIE PROFONDE DE SAINT F_RANÇOIS D'ASSISE y dépêcha des serviteurs afin d 'y préparer pour chacun -de nou h · . s une -utte: La mienne est à uq Jet de pierre a d là d , u- e u pont; les vôtres au bout de ce sentier à l' b . ' om re. N'avancez plus, chers petits frères c , . . • ar c est 1c1 que je vous quitte et il est temps po frè ur vous de prendre du repos. Notre re le corps . 1 ,~ ' qut est l ' habilation de sa sœur ame, et qu ' il f , . nous ·aut aimer moins qu 'elle, merite néanmo. abord ms quelques égards et, quand il e, en ·sueur . ï avec de d ' ' sur un terrain plan. et fac1 e ouces bang lt . , von · ue ,es de gazon nous n a- s po.s le droit d 1 . ' Massée f è A e m en refuser l ' usage. Frère ' r re no-e frè prenez I t:i ' re Illuminé, frère Léon, - • P ace assise et , seyent , entendez-moi. (Tous s as· su, un tal ) · courte . ' us. Je touche à la fin de ma vie et je ' . éLrint . n en a1 pas fait grand 'chose, ' vous le save l nos frères N' t z, e plus misérable de 10us · est-ce pa s votre avis? . FRÈRE LÉON Frère François . . . . car le . ' Je vous dirais bien le conw.ure , contraue est l . , . , gourmand . a ver1Le pure. Mais vous me enez.
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