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DIX-SEPTIEME MEDITATION e t b ,,. .., ommett o e1r . Ainsi posée, la question est trop vaste. Elle coneerne auss1 bien le eomportement intérieur de nos faeultés spirituelles : intelligenee et volonté, que notre eomportement extérieur par nos attitudes corporelles. Si les hommes ne voient que celles-ei le Seigneur, Lui, attaehe l'importance primordiale a eelles-la. ·C'est done par elles que nous allons eommencer et, pour ne pas eneombrer le sujet, nous nous bornerons, en eette médita– tion, a eonsidérer quelle doit etre l'attitude de notre intelli– ,gence quand nous ohéissons, si nous voulons nous efforcer a .rendre notre obéissance plus parlaite. LE « COMMENT » DE L'INTELLIGENCE Et d'abord, étahlissons qu'elle a son role a jouer dans l'ohéissanee. Non pas seulement dans l'exéeution de l'ordre, aexécution que le Supérieur est toujours supposé vouloir hu– maine, done intelligente, mais aussi, _ et surtout, dans la déei– sion de soumettre notre volonté a la volonté qui nous est .signifiée eomme étant celle de Dieu sur nous. A l'encontre de notre position, on pourrait ohjecter que des auteurs spirituels d'un certain erédit recommandent l'obéissance aveugle. 187

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