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FRANCISCAINS ET CAPUCINS BASQUES 163 dien des couvents d'Orthez (1705) et de Bazas (1707). Memora– bilia, fo 206 r, 211 v, 213 r, 219 r, 220 r. Entre-temps, en 1702 et en 1716, il est approuvé pour la confession et la prédication dans le diocèse de Bordeaux (ADG, G. 549, f 0 5 r, 74 v). * N° 98. - Léon de Bayonne (Arnaud Dubroca), prêtre. Obtient gain de cause dans une procédure en nullité de vœux entamée par lui, au terme de laquelle il est sécularisé (XVIII• siècle) (ADPA, H. 19). * N° 99. - Barthélémy de Mauléon, prêtre. Nommé Vicaire du couvent de Mauléon par le Chapitre Provin– cial de Castelsarrasin, le 2 septembre 1768 ( Memorabilia, fo 251 v). * N° 100. - Constance ou Constant de Mauléon, prêtre. Entré dans l'Ordre en 1609. Successivement Gardien de plu– sieurs couvents : Oloron-Sainte-Marie (1632-1634, 1638-1640), Cazères (1635) et Médoux (1641). Il semble avoir été le premier Basque à exercer la fonction de Gardien dans la Province. Memorabilià, f 0 57 r, 58 r, 59 v, 62 r, 66 v, 67 v, 69 r; Nécrol. Aq., p. 40, n° 901. Ill Les Frères Mineurs du Pays Basque au XIXe s. La Révolution avait dispersé dans toutes les directions plusieurs centaines de religieux franciscains. Les années diffici– les passées, nous retrouvons nombre d'entre eux chargés de responsabilités pastorales diverses, dans les rangs du clergé diocésain réorganisé ou en· cours de réorganisation. Mais c'est seulement plus de trente ans après la conclusion du Concordat de 1802, que les différents Ordres franciscains parviennent à se reconstituer en France. ' Autour de 1835, des Capucins commencent à parcourir la France, en se faisant connaître comme tels : la sympathie qu'ils