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[49] FRANCISCAINS ET CAPUCINS BASQUES 157 notre Province un de ses plus sages conducteurs, la chaire chré– tienne un de ses plus célèbres orateurs, chacun de nous un exemple constant de vertu, une source de lumières... » Les nombreux sermons laissés par le P. Clément n'ont, semble-t-il, jamais été publiés. D'après Dubarat ( Missel Bayon– ne, p. CCCLXXVI note 4), les ADPA conservent plusieurs lettres de sa main (H. 19). Memorabilia, f 0 205; Nécrol. Cap., p. 61, rr 0 1908; Schematismus OFM Cap. 1896, p. 33-37; Nécrol. Toul., 26 juin; Apollinaire, t. 1, p. 291 note; Haristoy, Recherches, t. 2, p. 175-177, et, du même, Le P. Clément d'Ascain..., Pau 1894 ; Irénée, Rist. Aq., p. 46-48, 93-95, 139-142; Chan. Daranatz, Le P. Clément d'Ascain... Bayonne 1921 (extrait de San Frantsesi Jaraik Gaizkion, 1920; Ducéré, Dictionnaire, t. 1, p. 217; autres références bibliogra– phiques, dans Lexicon, col. 419. 1' N° 68. - Cyrille de Bayonne, prêtre. Nommé Vicaire du couvent de Médoux, par le Chapitre Provin– cial de Nogaro, le 14 mai 1762; l'année suivante, il est nommé Vicaire du couvent de Port-Sainte-Marie, puis transféré, avec la même fonction, à Castillonnès, par le Chapitre d'Agen, 30 septembre 1763. + Pau, 27 octobre 1784. Memorabilia, f 0 249; Nécrol. Toul., 27 octobre. * N° 69. - Jean-Baptiste de Bayonne (Louis Pinkever-Rol), prêtre. Né le 30 juillet 1722. Entré dans l'Ordre en 1765. + Bayonne, 12 octobre 1788. Nécrol. Aq., p. 73, n° 2152; Nécrol. Toul., 12 octobre. * N° 70. - Séraphin de Mauléon, prêtre. Entré dans l'Ordre en 1729. Il enseigne d'abord la philosophie à Saint-Sever (1742), puis la théologie à Médoux (1744) et à Bayonne (1746). On le trouve par la suite, successivement Vicai– re de Bayonne (1759), Gardien de Médoux (1761) puis de Mau– léon (1762), enfin vicaire de Médoux (1765). Memorabilia, f 0 247 v. 249 r, 250 V, 325 r, 327 V, 329 V, 339 V. En 1790, il est âgé de soixante-dix-neuf ans, dont soixante-un de vie religieuse, et réside au couvent d'Oloron-Sainte-Marie (AN, DXIX 11 ; Delorme, G 6 , 5). Expulsé en 1791, il se retire au cou– vent de Pau, puis chez les Missionnaires de Bétharram, où il réside jusqu'au 21 août 1792. Obligé de se réfugier chez des particuliers, non loin de Bétharram, il meurt peu après, « acca– blé par l'âge et les infirmités », le 14 octobre 1793. Nécrol. Aq., p. 79, n° 2299; Nécrol. Toul., 14 octobre.

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