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122 FRANCISCAINS ET CAPUCINS BASQUES [14] avant et après la pêche ; un Rosaire ; et une sorte de manuel de dévotion pour les membres du Tiers-Ordre 12 • Julien Vinson, Essai de bibliographie de la langue basque, Paris 1891, p. 74; P. Lafitte, Eskualdunen Loretegia, Bayonne, 1931, p. 28 ; Louis Desgraves, Les livres imprimés à Bordeaux au XVII• siècle..., Genève 1971, p. 110, n° 733; notice, avec extrait du Debocino (texte basque et traduction espagnole), dans Enciclopedia Pais Vasco, Lit., p. 164-165; mention par Torrealday, p. 185, 211. b) RECOLLETS. * Le 26 novembre 1632, Frère Jacques Desgoeche ou Desgoi– eche, Frère laïc du couvent de Saint-Yrieix (Haute-Vienne), souscrit aux décisions du Pape et de son Commissaire aposto– lique, qui annulent le Chapitre Provincial de Bordeaux et nom– ment un autre Définitoire (ADG, H. Récollets, liasse 216, n° 118- 123 ). Il meurt avant le 13 octobre 1647, date à laquelle la Congrégation Provinciale de Thiviers (Dordogne) l'inscrit sur la liste des défunts (ibidem, n° 152). * En 1640 et 1642, on trouve au couvent de Saint-Jean-de-Luz un P. Martin Harannnibar. Le 28 juin 1640, il envoie à son Ministre Provincial une lettre évoquant l'installation des Récollets à Nay, en Béarn. Deux ans plus tard, devenu Discret, il souscrit, avant la mi-juin 1642, aux articles disciplinaires proposés par sa communauté au prochain Chapitre Provincial. Cf ADG, H. Récollets, liasse 217, n° 57, et liasse 223, dossier Saint-Jean– de-Luz... * Le 23 décembre 1662, parmi les clercs promus au sous-diaco– nat, en la cathédrale Saint-André de Bordeaux, par !'Archevê– que Henri de Béthune, on trouve les Frères Benoît Detchart et Mathias Lissalde (ADG, G. 546, fO 11 r). Mathias Lissalde sem– ble avoir été originaire de Saint-Jean-de-Luz. En tout état de cause, c'est de lui, ou de ses écrits, que le P. Elie Jacquet tient ses informations sur les origines du couvent fondé dans cette ville (Delorme, Rée. lm. Cane., p. 651 ). * En 1683, un P. Emmanuel Apeteguy réside au couvent de Saintes (Char.-Mar.) le 30 janvier, puis le 15 novembre, il 12. Nous ne faisons pas figurer sur notre liste le Cordelier Etienne Materre, auteur bien connu de l'ouvrage basque Dotrina Christiana..., pour la simple raison que nous ignorons absolument dans quelle région il vit le jour. Nous nous permettons de renvoyer à notre petit article : Etienne Materre, franciscain français, écrivain d'expression basque, publié dans Bulletin du Musée Basque, n° 76, 1977, p. 97-100. Aux références que nous y donnons, on ajoutera : Torrealday, p. 185, 211.

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