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COMME LES POINTS .ÉPARS D 1 UNE LIGNE 517 Ordinis Fratrum Minorum Capuccinorum (1916). Inutile d'ajouter qu'apres Bernard d'Andennatt et Pacifique de Seggiano, le P. Venance s'intéressa au Musée franciscain et assura son transfert du rez-de– chaussée au troisieme étage de la Curie d'alors. Ceux qui ont assisté a cette époque aux conférences franciscaines qui se donnaient a la Bibliotheque, se rappellent de l'illustration artistique empruntée au Musée dont le conservateur P. Léon de Lyon, savait les orner avec amour 8 • Préfet des études estimé au College international (1911-1914), le P . J o s e p h - A n t o i n e d e S . J e a n in P e r sic e t o avait le gout de la recherche des sources, comme il le montra dans son essai De Boni Pastoris cultu amplificando (1914). Mais devenu général (1920- 1926), ses nombreuses et lointaines visites canoniques en pays de mis– sion et la visite apostolique des dioceses du Brésil (1923-1924), ne lui laisserent guere le temps de s'occuper avec esprit de suite a une institution scientifique stable au sein de l'Ordre. Mais il plaí't de rappeler que L'Italia Francescana date de cette époque, par le mé– rite de !'infatigable P. Ottavio d'Alatri qui en garda la direction a Rome jusqu'a la veille de sa mort (1925-1942). Projet de création d'un /nstitut de Hautes Etudes franciscaines Avec le P. Melchior de Benisa (1926-1932) arrive au gou– vernement de l'Ordre l'homme d'une idée: la création au centre de l'Ordre d'un lnstitut de Hautes Etudes franciscaines. Pour l'exécution de cette idée, il eut l'appui de plusieurs collaborateurs. Qu'il nous suffise de nommer pour le moment le P. Eloi de Fenne, définiteur et éconorne général, homme d'une volonté tenace qui ignorait les obs– tacles. Le 23 juillet 1926, le P. Melchior de Benisa annorn;ait aux Mi– nistres provinciaux l'établissement a Assise d'une maison d'études placée sous la juridiction immédiate du général. Y seraient accueil– lis «aliqui selecti confratres nostri, qui ad altiora studia ad Ordinern spectantia se dicarent ». Le prernier homme d'études qui alla occuper la place (l'ancien palais Sperelli) fut le P. Edouard d'Alenc;on jusqu'en été 1928. Le transfert du Musée franciscain de Rome a la nouvelle demeure d'Assise eut lieu en 1927-28; le nouveau conservateur, le P. Exupere de Marseille, sut disposer avec gout la riche collection dans une suite imposante de salles. A mesure que l'idée prenait corps, le P. Melchior sentit le besoin de prendre conseil. Un des premiers religieux auxquels il s'adressa fut le P. Cuthbert de Brighton, qui préparait depuis 1926 son étude s FREDEGANDO n'ANVERSA, ll Museo Francescano dei Frati Minori Cappuccini in Assisi, Roma 1929.

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