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- Moi, votre Mere, a l'intercession et par l'intermédiaire de saint Michel, Je veux vous dire que vous vous amendiez. - Déja vous etes dans les derniers avertissements. - Je vous aime beaucoup et Je ne veux pas votre condamnation. - Priez-Nous sincerement, et Nous vous exaucerons. - Vous devez vous sacrifier davantage. - Méditez la Passion de Jésus». Le message n'est pas long, mais il est tres dense. Celui qui le lit par simple curiosité, n'en tirera aucun profit. IL FAUT LE MÉDITER. Nous y voyons : Une dénonciation de la mauvaise situation morale et spirituelle du monde; Un avertissement de ce qui nous menace si nous ne changeons pas ; Une exhortation a opérer ce changement avant qu'il ne soit trap tard. * * * Les réactions furent diverses. Beaucoup eurent la confirmation de leurs pressentiments ; d' autres furent salutairement touchés ; les sceptiques continuerent comme précédemment a douter , nier ou combattre. La phrase «Les pretres marchent nombreux sur le chemin de la perdition» souleva une tempete en certains milieux cléricaux. L' éve– ché réaffirma sa position dans une quatrieme note qui n'apportait rien de nouveau, si ce n' est l' expresse déclaration que tout ce qui concernait Garabandal ne contenait rien de condamnable ni dans la doctrine, ni dans les recommandations spirituelles adressées aux fideles». ADIEUX SOUS LA PLUIE Les plus perspicaces observateurs eurent vite l'impression que les faits du 18 juin intervenaient comme le dénouement ou la fin des événements de Garabandal. Cette affaire n' allait pas se poursuivre indéfiniment. Ses protagonis– tes avaient cessé d'etre des «fillettes». Les circonstances commenc;:aient a etre différentes. 136

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