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!)O rutPC!KSE DE (;ASTO :\ l\' .\ CES GRIEF S . [U.i3J donné, qui derail donncr c1H.:orelanl de gages de dé,·oue- 1nont ü la c:,,nse í'ran<;aise, ne lrou,·a en luí que ré,·olte a la lcclure des rernnd ications royales. Respectueux de l'autor ité ele son suzerain, tl\·anl tout inquiet ele c:onsen er sa fa,·eur (les fins dcrn icrcs ele sa politirJLie luí en f"c1isaient nne loi), il 11e pul <..:cpcntlant comprcndrc <1u·on lui co11teslat des droits et des J l'i,·&g es dcpuis longteinps acc1uiset il s·nppreta it les dél"endr e do pied fcrme. Reprenant point par point le réquisitoir e royal, il y réponclitpar un long mérnoire qu·i1 a paru intéressant d'analys er ici 1 • Au premier arl i<..:le, - le plus impol'lnnt lle tous. - celui 1,ar leqnel le roí lni <..:onteslc Je titr c do« cornte par la graco de Dieu », il rivoslc r¡ue de lout temps ses pt·éclécesseurs en onLusó sans réc:riminnli on aucune de la parl tle leurs suze– rai11s, co1ntcsele Toulonse ou rois de Fr ant e, et que la pres– criptiou ost a~scz longuc ponr 0 11 avoir assuré déjü la ll'!gilimitú ; cr aillcurs, en prc11ant ce tilre, il n'enlend nulle– rnent porlcr alleinlc il. la pr órogatire ro~ 1 alc . On rerra c1ue na ston se résen·::iit de do11ner les preuvcs écrit es de cette lég itimité; eles ce moment peul-élre cbarg cn-t-il le tréso– rier ele Foix Arnaud Esquerri cr el le procureur i\lichel clu Bornís do rccherclter dans ses archives les clocuments sur lesquels il la pou\'nit f"onder. JI a occupé, il cst vn1i, les dil es ele Caumont el de Mar– que!"arn; mais n'cst-ce poilll de J'arnu memo lle Charles?, JI s'es t cm pcrmi s d·accnparcr la clou:t.ierne parlic ele la sei– gneurie ele Marquerave qui appartenait au roí; c'était pour la mieux garantir des cnlreprisos du dehors. On l'a ccuse ele lever des impóts sur les Jicux de Cintegabolle, Montoscruiou et Voh·oslro; il protesle. On luí conteste la propriété dTglas; mais <;,'cst son póre qui en a fait ra cquisition, les tiLros sont lit qui lo prouvent, el Charlos VJ1 1L1i-·111i~me lui a rcconnu lo droil de lc,·or tnillcs et aides sur les do111aines qu·i1 acquiert sans que le fisc ait rien ü y prétent.lre. On lui reproche d'aroi1· dótoumó la juridiclion ele Barcocla11e du 1. Arch. des Ba sses -P.,·1·én0es, E Vd (m iriut e); pub !. dan s Leseu r, t..11, Pide. jnsLif. Vil!.