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X4 J.F. l' AYS UASQUL so:NE 11. Osman reud compte U. AU1l-el-Ilahman desacouduite cnvcrs les chréticns. Apres lcw· avoir fait counait.rc tout ce c1u'ils avaient a craimlre s'il:i résistaicnt, et le Lonhcur qu'ils devaient attcndrc par suite de leur soumission, il lcur a, dit-il 1 envoyé Centullc pom· lcur cnlcvcr tout espoir de secours Ju cóté de la Navarrc et de l:L Castillo. C'est au calife lui-méme qu'il a réscrvé la gloire d'obtenir le prcmier aveu de Marie, car il ne dout-e pas de la réussite de son st.ratagCmc. sctrrn 111. Abd-cl-Hahman rc~oit les chnít.iens au milieu de t-out ce que sa cour a de plus brillant. 11 prend la parnle avec solcnnité et .s'exprime en ces termes : Chróticns, vos infortunes onl cessr.. Voici le jour oU la rcnommée puhlicra votrc bonheur dans tous les lieux que le soleil éclaire 1.... Soudain 1 un bruit épouvantable retentit aux po11.es du palais. C'est l'armée catholi<tuc qui a surpris les infidClcs. Centullc et Stcphana 1 \'oyant leur t.rahison découvertc 1 fuient avec les Mames; Fcrnan et Maric se retrouvent avcc bonhcur. Voifa le 1lénouemcnt ele la piCcc 1 l[Ui se termine par ces paroles d'Abarca : Enfin, le i\laure affrcux l!St done vaincu ! Gr<lces en !!-Oient remlue:; au souverain hlaitre tlu cicl, eL grtlces a \'OUS, ó cher Fel'llan ! Prend:> ma filie, ó rnain \'aleureusel Le don de ma eou\'ounc ne serait pas une recompense suffisantc pour tout C(';q11e je te dois; mais les hicns tlc ce monde n'ont pas de dnrée, des biens plus précieu:x te Ront ré– scrvés tlans le cicl ¡ . Maiuh~tu naicela 3.diskiden odolean. Ez qic naski izancn hlrc aitac placcrir., Traidore bati bieia orai nle u1clric. Cristauac, akhaboda zucndohacahetasuua. Egunda ci;un hura non zuon zoriona llJ:uzli.i~c ari;itccn ducn toki orotau Netl~turcn \Jaita famaz .. llentiu1udirl'bebinMairu ieigarrl;1c?

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