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a1-a•nBHw1·n·10.Ns onu1A·r1Qut.:s. SL remarqué que le calife en est épris. Ilassan est un hornme qui a t.oujours vécu au milicu des intrigues de la com" 11 poussc Ambrou. Scrupules de ce dernier. llassrm lui persuade que, puis<¡ue lui , prince de Fe1., commandait l'armée en personne, les prisonniers lui appartienncnt de plein droít, qu'il peut en disposer. Ambrou représente que le califc ne le souffrira pas. Hassan lui proposc d'cnlever 1larie et de fuir avec elle. Cela lui parait d'aut:mt plus facile, qu'ellc y donnera soJJ consentemcnt, si on lui fait accroire qu'on veut la. conduire en Navarre. On s'arréfe il ce projef.. scENE [[. Stcphaua. retournc tout cffrayée auprCs des autres captifs. On ne parle, dit-ellc, <¡uc de tortures pour ceux qui ne voutlront pas renier leur foi. Osman aniYe sur ces cnf.refaites. ll témoigne ii ces malheureux le plus yjf intérét; il les supplie tour a tour de u' et.re pas rcbclles 1\ la volonté de son puissant maitre. Jl emploic tous les moycns de séduction, et laissc cntrevoir que les t.ourments et la mort attcndent ccux c1ui ne voudront pas céder. La fin de la scenc cst uaiment sublime : OS)IAN o:i Marie. Quclle réponse dois-je porter au grand. Abd-el-Hahman? Quoi ! que vous dCclaignr.z :son creur biemeillanL?... Je ne puis c1u'obéil· a ses ordrcs: que lui rapportel'ai-je?... quR lui dirai-je de votre part? 1Jue je wux mouril'... Oui, millc fois monrir 1 OSMAl'\, .Jamais je n'oscrai lui rapporter une pareille réponse : vous ne savcz pas combien ¡;:a colére est terrible. Un homme qui n'est qu'e U.e boue vous fait tremhler : eombien plus ne dois-jt? pas craindre le Roi <les unges!..... Non, seigneur, je ne crains point Je3 hommes; mais vous, allez á eux, prosternez-vous devant eux 1• OUl.1.11'. Cl'r íhar1l<'Xitl'n tlut Allrrram hantll~ri?
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