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()6 J,E I'AYS RASQUE . jours, uous mo11trcnt !es cérémonies obsen 1 écs en pareille cir– constance dans la ville de Lyon ; je me bornerai 3. renvoyer :1. ces opuscules, aussi bien qu'aux savnntes notes dont les ont cnrichis les dcrniers éditeurs, MM. Brcghot du Lut et Péricaud, qui out 1rouvé i\ faire une nouvcllc récolte dans un champ moissonné par Claude Noirot 1 et par l\L Leber t. On vcrra.dans l'édition de 18'29 que loin d'Ctrc, dans ces derniers temps, part.iculiCre U. not.re pays, la chevauchée de l'Une était encore répandue en AnglctcJTc. Toutefois, clic y préscntait cettc différenceque, chez nos voisins, Je ltl:tl'i outr:_igé et Ja femme haute h Ja main CllVCfS )ni éfaient placés ensemble et dos a dos sur la méme montare, la mégerc par dcvant, sa victime par derriCre , une quenouille a la main et la facc tournée <lu cóté de Ja qucuc de l'animal. Un détail a remar– qucr, c'cst que, dans ces sortes de cérémonics, quelques-uns des suivants du cortégc, armés de bulais, s'arretaient de temps en tcmps pour balayer le devant de quelf[ucs maisons dans lcsqucllcs la fcmme était réputée exercer une autorité despotiquc, comme pour avcrtir les habitants du lieu qu'ils pouJTaient bien figurer <1uelque jorn· comme acteurs dans une pareillc fCtc ~. On explique– rait pcut-et.reainsi un détail du cérémonial usitédans les mascarades bas<¡nes. Eutrc les nomLrcuscs productions du génie dramat.ique des coblacari Lasques, celle qui roulc sur la vic et la mort de Clovis nous a paru la plus propre U. donner une idée bien eoniplCtc de ccttc sortc d'ouvrages. Aussi en préscnterons-nous une analysc assez développéc. '!/Origine dt11 m1Uq11t11, mommerie, bernez, et reve1111u ts jo1rsgras de ca,-esme· pre11011I, menez s~r l'aine arebours et charivary, etc.; le tovl t$lroicl dK livre de /r1 mommerie de CI. ti'oirot. Lengres, Jehan Chauvetet,1GOO. J>etit in-S". • Colltclio111lt11 mtilleurs Disstrtations, Notices et Trailt1rtlatifs a l'11istoirt de Fra11ce, par MM. C. Lder, J.-B. Salgues et J. Cohen. Paris, 1826, 1 IX, p. 5". • 11.tnsles L.tndes deGascogne, une nouvellemariéen-t-ellchabilerla maison de son époux! elle trouvc ¡¡ la poflc un bala!, slgnedescs fonc1!011s domestiques. (1,o Ruthe d'Aq11i/ai11t, l. 1, p. '!8; SI«/. (Jtn. lle~ dtpart, ¡11,1rtn., t. 11, p. 353.J