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538 LE rAYS BASQUE. zCle et une paticncc r¡ui ne se sont ja.mais dément.is . J'en puis dire aulant de M. Archu, c¡ui, uon couteut de mcttrc ama disposit.iou la collcction de chants populaircs bn.sques qu'il a. rassemblée, s'est toujours montré pret a éclairer mes úoutes 1 a dissiper mes i ncertitudcs. Apres ces noms, je dois ancore ment.ionncr cclui de M. l'abbé llarriet , aujourd'hui curé de Saint-Louis-des-Fran~ais 1 a. Madrid, et celui de M. le curé de Bardos, uon que j'aie eu la bonne fortw1e d'etrc dircctement en rapport avcc ces savanki ecclésiasti– í¡ues 1 mais M. l'abbé Fourcade 1 inspcctcur primaire a Bayonnc, et M. Gustavo Brunct, de Ilordcaux, ont Lieu voulu me fow·nir, l'un d'import.antes obscrvations du premiar sm· mon introducljon aux proverbes et aux poésies bnsqucs tl'Oihennrt 1 l'autrc 1 uu recueil de provcrbes et de chansons formé par ~L l'abLé lliribarren. A vrai dirc, j'ai trCs-pcu usé de ce rccueil, ayant déjll. par devers moi ce qu'il contcuait; mais je n'en dois pas moins mentlonner uuc commuuication qui autrcmcnt m'cút été précieuse. Professeur dcpuis bicntót vingtans dans une ville oú, <¡uoi qu'on Cll diSC 1 Oll pcut trOUVCr it par\er de lit.tératurc, j'ai puisé danS mes couversations avec mon excellent collegue M. Dabas, doyen de l'une de nos Facultés, et avec M. Augusto NoCI, professeur de rhétorique au Lycée, des indications et des aperctus dont j'ai fait mon profit pendant le cours de mon travail. Inscrire le uom de ces hommes distingués sur le drapean qui annonce la conclusion de 111011 muvre 1 cst moius un honneur pour eux qu_e pour moi, malgré les cfforts que j'ai faits pour que, sous ce rapport , nos obligations fussent réciproques.