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l\IRJ,[ OGRA l'RTF.. 529 Une communieation obligeantc dont a bien voulu nous honorw· ·S. A. le princc Louis-Lucicn Bonaparte, relativement aux publi· eations en langue Lasque qui lui sont dues ou en cours d'cxécutio11 1 vient heureuscment nous met.tre en état d'ajoutcr li notre biblio– graphie une partie dont l'abscnce eilt été vraímcnt a regrettcr, plus cncore qu'uno lettre 1 1lui a cessé de nous sembler rnalencon– treuse depuis que nous lui <levons celle de S. A ' . Nous avons décrit la premiCre de ces publications 1 ceUc de l'Evaugilc selon saint Matthieu 1 traduit en souletiu par M. l'abbé Jnchauspe ª, auquel les amis de la littérature hasque (et personnc plus que nous) ont tant d'obligations. 1-'timalJateccrcisi fouoslJatlJcrriric ; Creauzicr zaharrecabanzu ideki. Omizegaineti Ourdh1arbera JaungaztcbatjoandaesposatzC'ra; Cba!anda zahar!Jat oposatzcra; Bcraccramandiznsacolanpapera. Esposborrec lettcra jaun errelorari: ;\lousdeBehiagoitiehaudejzu i¡¡:orri. - Haren ~rrapostia hoa.nrnntla agucri, Zoureesposatiiaetzeitalasori.– Esposhorrcc bebala, sujctziau hecala, Jauuerretoraczielatradituguisala; Jakiu ba!u zer eman zion sacolala, Ourth.ili.iren lirela nhaitzbnbchern. Esposhorillehala 7.aldiz hiriz híri Arrnnjue¡¡uitern antlre zahm'feki; llirufrango hazizunsacolanirom;ki. Prima eonleutatn; haioau dihariacutzi. Une hériti~re acbeta un fonds tout neur; tes viei!les créancil:rcs ont failH le lui enlever. D' Abensc·dC·Haut ~ Ordiarp Un jeunc monsieurestafüépouscr; Unevieil!epratiquede s'opposcr. Lui·mfaneaemporté l'opposition dan3 la poche. Cet époux de rerncttrc fa lettre ~ M. Je curó: i\lousieur Behiagoilyvousenvoie ccci. -Saréponscparaitc!airementici, l\oem'cstpaspcrmisdecélébrervotre rnariagP, t.:etépoux:sur-le·champ,ila\'ailraison, Dcriposterquesaosdnute ~f.lecurél'availtrahi; Quesºilelltsuce(¡uºi\luiavaitmisdaoslapochc, 11 se serait empressé de le jcter au fond de I~ [riviérC'. CetCpouxaussltütde conrirb cheva! de villeen [ville Pour faire des arr:rngements ª''CC ses vicilles [rna1tresses; llenreuscment qu'il avait de ]'argent enabon· [dnncedanslapoche. II satisfltl'héritiCre; mais ll Jaissa sesécusen [route, 1-'rirna horrccbazizunordian bihoti min, Ccttc hCrilii:re avaitalorstlesangoisses, [cris. fürcn marrasl.:.etaric a isa dugu jakln. Nous l'avonsfaci!emcnt connu ~ses soupirs, ~ses Bi hogbeiez\eiliarjarriric mahainian, Dcux \'ingts convives(étaient) assis ti table, F.ta harree araxen scnharric c1.obian. ~lais point d'époux le soil' eonehé ~ sou d'.llé. Ba!ii!cOlivero, cnzunllit batz:ire lJasilc Olivier,j'aiouídire nagu/:re Zuc baduzulab1Jstpaseiamore. Que vous avcz cinq ousix maltresses. Ni edirciten nuzu liatcrehat gabc: .\lo~fcme lrouve saos cnavofruoe: Hat cmaneradazn canlorejorhale. Doñnez-m'en unepourprixde ma clrnnson, ' Voyez 111 Gironde, journal de Bortleaux, 11° du samedi H juillet 1857, p. í!, col. 4, Larectilicatio11de !'erreurcontenue1\anScettclcttrcaparule;emlredi17juillet,p. '.!, col.:i. • Lontlres,t6jnillett857. 'Voyez c\-dessus, p.480. 34

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