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460 LE PUS BASQUE. jusqu'aupres Lle votre lit, aussilótvous poussez des cris tl'alarme, tJO me surprenant dans votre appartemcnt. Alor!;, que rnon malheur cst grant!! je suisobligé de sautcr par la fenétre comme un voleur, et de fuir emportant avec moi un chagrin mortel.) La maitrcsse d'Oiheuart lui échappe par son mariage avec uu homme riche. Le poete alors composc uuc cornplaintc, dans la– CJJ.!Clle il place tout ce que l'on peut dire en pareil cas. • Plú.t a Dieu, s'écrie-l-il aumilieu de la piéce, que jamais on n'eút lntroduit l'horrihle modo d'accroitrc sa fortuno aux dépern; d'uue filie t PIU.t á Dieu que cette mode eút ét.é clótruit.c tlés son apparitio11 ! - Marier sa filie daos l'unique but <l'avoir de la fortuno, non, ce n'est pas la marier, c'est Ja vendre. L'acheteur, son mari, que rnén– terait-il ? - Des cornes. ~ Eguullan' ez ailis iaio gachtaguiua Onarcn etlcrr.l, nescato segui, Edo iaio eta berlrn.la Hil ailiz, inhar bec_:ala. Onarsun-trucu hutz, alav' eili.:onz<m, Ezta hori ezconze, bana da faisea; liaren erosle senarrac Cer meresi lur¡ue'l - Adarr;tc. Ava.ntde finir, Oihcnartapostrophe ainsi l'objetde ses suppliantes ardeurs : liau egun, goiz arrats, (1date iatean EDi!te-gueldize , iakite-ezatean , Zutaz dizut phensamendu, Neure pere luzamendu. (illa bien-aimée, la nuit, le joul', le matin, le soir, dans mon boira, daos mon mangcr, dans mes courses, dans mes halles, a mon le,•er, a mon coucher, je ne songe r¡u'a vous, a vous qui perpétuez me~ peinf!s.) La peúséeexprimée danscecouplet. u'a rieu 4ue de t.rb -ordinaire ; je n'aurais pas sougé a la faire reman¡uer, si je n'eusse voulu mout.rcr l'helll'cux parti qu'un autre poCte a su en tirer daus une piécc du meme g~nre 1• Uaithdayandnight, Myfancy'snight

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