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ARNAULD OIIIENART. 459 acérP., vont , de leu1·s pointes effilées, indiquer juste l'heure do midi; -·- de méme aussi, entrainé par une force invincillle, depuis <)He tu m'as frappé au cceur, je t'apparticns irróvocablernent de corps ou dl• souvenir juS<¡ue dans rnon somrneil. ~ Cadran-orrazac, Burdin-aiz lazac, Hunqui eta bustan rnehea, Ghuchen, han hara, E1:.~erditara Uiaducan punta chehca. Ni, hala hala, Tiras bei;ala, Hic ioz gueroz bihozean, Hiri gorpizel:l , Ueti, ed' orhizes Narain, bait' are lozean. Le poete finit par demander un rendez - vous dans un lieu secret, alin que le monde ne jase point. Protestations d'amour, plaintes sur l'indifférence qui les ac- cueille , t.elle est la substance de l'éiégie IV, qui commence ainsi : ZuLaz berzeric Nehor maiteric Eztudalaric herrian, etc. La suivante mérite <lavantage l'attcntion; on y lit ces vcrs, qui nous montreut a quel point l'auteur poussait la témérité <lans sa jeunesse : Ganas, epa.isca~, zur' echen sartuz, Km' ibi\iz, eme hat sartl1z, Eta hast.azes , gambara bilan Jraganic, beldur handitan , Net hat sarturic, zur' oh' ondora Banat.orra , zuc heiagora Eguitcn dllzu, ni hautzemanic, Et' ordu hartan, gachoa nic, Leihoti iauziz, ohoin' iduri, Hilpenan belmr dut izuri. ( l~a nuiL si, comme un larron, je pénétre sous votrc toit, et 11u'C\n marchant sur la pointc <lC's picds et retenant mon halei11e je monte á tli.lons \'Crs YOtre chamLre , que j'arrivo essourtlfl et saisi de crainle

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