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458 LE l'AJS BASQUE. amour pollt' \'OW:i, combien j'ai toujours CIR. cmprcssé a cxécuter vos ordros. • t:emUat Hizan Sutan izan Bethi tinc eta ekuru; Uein, manura Ere, ardma Brne hethi et' airluru. Une pareille constance mérite bien d'Cf.re récompensée : Et' nztazu, Guticiazu Nizan hori bererc Amerstern, Pot guitcra, Dlldan zuri both ere. Guero azquenic, Beharrcnic Einadazu <luliana, Margurita, .Jin congita Ganan behin zugana. ( Lais~z-rnoi, au rnoim;, révet· ce que j'ai ambitionnC le plus : le rlroit de vous donner des baisers. - Et enfin acco1·dez-moi, Margue– ritc, ce dont j'ai le plus be3oin : la liberté de venir auprCs de vous une fois chaque nuit.) Dans la piCcc qu'il a intitulée Arguia darizanari ( A cclle qui fut la lumiCre), Oihenart montre, je ne dira.i pas plus d'habileté comme versificaWur, mais plus de sentiinent poétique, pcut-etre C1ussi plus de passion : • Saus toi, A1·guia, les joms et les nuits ne sont ricn pou1· uwi, s'écrie-t-il au déhut; sam; toi, je ne suis qu'un :;imple awugte, ca1· tu 1:s ma lumiere. ~ Gauic eguoic, Estinat hounic, Hirequi ezpaniz, Arguia; Hirequi ezpnniz, ltsu hutsa niz, Ceren baihis ene arguia. • De memeque les aiguilles du Ci.ulrau, comluitcs par uu rugrenagCl

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