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AllNAULD OlllENART, 4ó7 de fois il en a été fait de semblables, on est en <lroit d'en douter. Bon mru:i, commc nous le verrons plus tard, OihenaJ'L <lut. étre aussi hon phe. et les fruits de ses etforts poéfü¡ues eurent slirement pa:rt O. .sa tendresse. Voyons quelle place ils doivent occnper da.ns notre estime. La plupart des poésies dont il s'a.git. sont des élégics amoureuses el out le fouds se ret.rouve partout, chcz les anciens et chez les modernes, depuis Tibullc et Catulle jusqu'h Parny, mais avec moins de variét.é. Le poetc soulctin, s'adrcssant a l'objet de. sa passion, parle de la peine qu'il a prise pour se faire aimer, du contentement qu'il rcsscntait quand sa nmitresse att.cndait .sa. renco11trc sw· la routc et qu'il pouva.it lui adresser la parole. 11 fiuit ainsi: .'iiri lm.i baLen erraileru R:.'enthoske chois ere? Orai, zure mines hilzera Nohela, ikhusiz berere '/ 1;eren berhetus zurgorreti Baitaguidasu zuro aldeti ? Ccren herhetus znrgoneti, Ilaitaguidasu horla beti? (Ne pourriez-vous done pas oscr me dire un oui, en me voyant sur le point de mourir maintenanl du mal que vous me fait.es soutfrfr? - ftlai:; pourquoi done me rcgardez-vons avec lmutem·? Pourquoi done mp, regardei-vou~ toujours ainsi avec hautenr, de votre cót.é?) Dans la pi6ce qui porte le 11° 11, Oiheual'f. se plaint a une cert-aine Marguerite des rigueurs <lont elle paic son amour : Margarita, Datlaidita Othe huts sin eguite)'; . Beguis ourdin Bezain gordin Zarela zure eguite)'; ·1 (hlargnerito, :;e pourrait-il que, rnalgré vos vains sennent.s, vos actes pour mol fusSent ;mssi cruels que vos yeux blcus?) 11 lui rappelle qu'il \'a servie et court.isée pendan!. lougtcmps : - Souvcncz-vous, dit-il, comlJien j'ai ót.é J'ernw et tid0le dans mou

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