BCC001198-6-14000000000000000

BEllNARD o ' ECllEPARE. Per:;L1n oru hildenian hirur ~:.athi cguilen : Gorphuz Ol'i uste\cera lm hociau cgoizt.en; Unthar<;una ahaidiec vertan dute parlicen, A rima gaixt;o dabileln norat ahaltlagui~n, Hayu viage vortician compagnia faltacen. l)rhituqui igamlian vehardugu pensatu Cenbatetan eguin dngun aste artnn beccalu; Orhit et.U Jeincoari harqhamendu escatu Atorra nola, arimere aste oroz garlJitu. 443 'froh; circonst.ances accompagnent la mol't de lout individu : Je corps est jeté a la pourriture dans une froide rosse, la fortune Uu mort e:>t ¡xu·tagée hientót entre les héritiers, pendant l¡ue la ¡mu He ame ene, commc elle peut et sans compagnon, dans son terrible voyagc. Le dim:mche, nous ne dcvons pus omettre de recherchel' combien de fois nous avons péché pendant la semainc; ot quand nous uous cll sornmcs souvenus, nous <lcvons demander pardon a 1Jieu , et blan– dlir notrc ti.me chaque semaine comme nous Llanchissom; notro lingc. Un peu plus loin, toujours U. la page 93 des extraits de M. Brunet , je remarque une comparaisou empruntée 3. la vie pastorale, comme une autre que 1'011 trouve page 97. LU.je suis frappé par le rapport que présente la poésie de d'Echepare avec certains vers du .Dies irw. Elle vienta.pres ce passage qui rappelle quelr¡ues vcrset.s du Staúal : Gontemplatu vehardugu pas:;ione sainduia Eta sendi vihocian haren pena ht1ndia : Nola ¡;agoen curucian oro ~auriz bethia, Huin escuiac icaturic eta vuluzcorria. OhoineqL1i mcatul'iC, nola gaizquiguilia, Eta arhancez coroatul'ic mundu oraren iaLia, Haren gorpuz preciosa eta delicatuia Gaizqui escarniaturic eta i;ot.hicatuia. Gonlemplous la sainle pa~sion, ressentom;-en les vives douleurs: reprúsentons-nous le Seigneur suspenrlu au gibet, couvert de bles– i;urcs, les mains percéei; de clous; représentons--nous sa nudité. Contemplons le MaHre du monde pendu au milieu des larrons, comme un malfaiteur, et couronné d'épines; contemplons les souf– J'rances et les tortures ele son corpe précieux et délicat.