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l'armi les airs qui suivent, l'Er1'eguela zarrn doit et.recité, bieu 1¡uc sa valem· soit fort au-des:sous du Ouarrentaco et. <lu San Seúastian. L'Erreyuela zarra est uu air scmi-badiu, avcc une ceJ"laiue monotouie villagcoise 1 • Le Pordon Dantzu ' nou:s offn.i des motifs t.om · a tour pkin.s d'unc amotu-euse laJJgueut' et d'uue grande vivacité. Signalous eucorc Upelatigui s, Ondorrabia cltiquia 4) Ormaclmlo::., Espata /Janlza 6, l'rocesioeo Soñua, Bueaera et Graciana 7 • 1'ous ces airs .sont remarquables 1t diYe1·s türes. N'oublions pas les deux chauts de Cluu:olin't et de Al i::.pirotz ', qu'tl. leur belle simplicité eta la pureté de leur dessinmélodique, 011 croimit. échappés de la plume de Haydn; ni le Nescalli, i¡ui e;-;t m1 i.res-joli air de chas¡.¡e. Qwmt iL ceux dout il u'est pas fait rnentiou ici 1 un croit pouvoir allirmer 'lue le plus grand 110mbrc a été ;~jouté a.u répertoire des chant:; véritablemeut Lasques par des musiciens médiocres. Tcllc est l'idéo, bien imparfaite s:.ms donte , 1¡uc je me sui;-; fait.c du J"ceueil de J. 1. de fatueta. Pour en avoir une co1111aissanee plus int.ime et pour étrc en état d'aborder les considérations plus ' Voyez sur la manitre de danser l'ErregueJa iarra, !e Cuiprt~oco nanlit1, ele., ¡1.113·tU. ' Lejour de SainL-Jean, ¡iatron de Tolosa, ou y ~xécuLe cettedanse avec des !J.i.touscl des bourdous, enmémoire de laeéltbrebatailledeBéolfüar. (Dice. geogr. .l1i1t.de E1pailll, t. l, J•. 327, eol.1, ;rl. Guipu1toíl.) La bcauté de ccl air basco-es11;1gnol noos a décidi: il. cudonncr l:imusiq11e.-On trouvcune notiee sur la danscdans le G11ipucoaco,Dnntw, cte., r.101-1o.t. ' Guip11uoaco »antia, p.116, 117. - • Jbid., p. H6. - • J/Jül. « Cene ~utre d~nse, uomn1ée1fans un distique que nous avons u 1)porté 11. 'i!S, a la ~uitc 11'une 311ecdotc eniprun!ée au 11' de Ts~~li (Compendio Mat. de laJI. N. y Al. f,. prouiucill de G11ip11uoa, lh'. 1, cb~p. XIII, nº 13, p. t68), ful exécutée en 1600 Jl<lr ec11t hom1ue:;, en J'rCsence •I~ l'bilippc IV, a I~ proccssion du t;aint S:1crement, a laquelle il assislail it Sainl·Sí:hastien. (Dice. gcogr.-hist. de Esp., \. 1, p. 327, col. t.)- On trouve la descrip– tion del'E¡polatlai.l;;at\ausl'ouvraged'lztucta, p.89-96. ' Vo}'l'Z GuipuconcoDanl$a, etc., p. HS. - • fbid., p.117. - " l/Jid., p. lt8. - Ou 1rouvela rcpr~ntationd'unedansebasquee1í:cutéeauclairdela lune,dans rA1fabeto de /a ltnguoprimitittade Espalla, etc., de D. Juan flautista de Erro. Voyei, i ce sujct, les Mémoiresde l'Académlc ccllique, t. 11, p. 311. - Oans te t. Jll des Mémolres de I:• Société dcs AntiquairesdeFrance, 1¡ui en íormcut la suite, onlit des détailssurta dansc antique appeléepantaloii, usitée~ Saint-Pé (Hautes-Pyrénfes) :tout me porte a croire quec•cst m1e danse empruntée ~ux Bas,¡ues. La romance dont parle l'autcurdu Mémoirc et danslaquelle un rimeur bigourdan chante i·avrnturc de la ll\led'un duc, me rappelle 13 prétcriduc romance souletlnemenLionnée par M. Mawre (lfüt. d" Bbm1, cte., p. :as, en 111itc), •/Di, ne s~chant pas Je basquc, n'a pu l'cuiendrc.