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418 LE l'Al'S RASQUE. Muus llrrutia leihoUe , ni uldiz carnpoti. llihotza enfüaLu zeilan so oztibatcki : Uduri ziren haren IJcguicc izar zirela zcluti. - lfaG cl1armagarria, huillan duzu eliza : ZombJit altliz jinen úra harat meza. em:uLera; llcguiz keiña eguincn dugu, ezin minzatcen baguira. Españolaco bidia, ala, bitle luzia ! Uuilielialat so guin eta, hasperena a1'du1-a; MaiteLloaz orhil et.a nigarra !Jeguiala. Hort1.ac chouri , liegniac belch, ene maitia, zere11 cz ! Mundu oroc dioúe ni nizala traidorc : Orui aren erra Jazu hala nir.an, bai al' cz. - Aristirh;o ekhinc zercna dizu crtlia, Zure eta ene arnodioai\ plJüiduzu mundia, Mundu Ol'oren icllilic maitc izan bchar guia. M. de Huthie ét.aiL a sa croisée, j'étais deho1·s. D'un de ses Uoux regards il me fendit le creur : Ses yeux n~sscmblaient anx étoilcs qui hrillent du haut du cicl. - Mon cnchantcrcsse, l'églisc n'est pas loin : Vous y viendrez quel(ruefois pout· y cntendre la messe; Nous y éch:mgerons des r('gartls , si nous ne pouvons y pal'icr. Le chemin tle l'Espague , ah! ({Uelle longue roule1 En 1-cgartlant derriére, je pousse souvent des soupirs; Le somenir de la hien-aiméo apporte tles \arn1cs á mes yeux 1. Dianche:; dcnts, ycux noirs, ó ma bicn·aiméc! pourquoi non·~ Avoucz-lc , tout le monde tliL (f\lC je suis un t.raHre : UiLcs-moi si ju suis trattrc, oui ou non. - Le soleil de l'aprés· midi ta.mise ti. demi le serein, Tout le monde jase sur votre amour et le nüen; En cachette de tout le monde il faut nous aimcr. Trois chausons rclatives aux contrcbandiers l.tas'{ues et aux douaniers •tui gardent la frontiiire, nous out. paru plus '{UC sullisantes pour compléter notrc chapitrc VI ! ; mais la dernierc 3 ' Comparez ce wuplcLavec le sccond du Voyage ll \'ermibgc de S~inL·Joseph, ci· dcssus, p. S:U. ' P.HH' 17. • tedcrnicr wup!et, r¡ue j'ai reeouvrC depui~ peu, renrerme ladatede cctte pi~cc: L'an mil huiteent Lrcnte·dcux, 11wrchoko ilhiall(aumoisdcruars),

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