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C.RANSONS nrVERSES. « Berrien irouaitera bagoat~a pettarl'et· Ahatceric guirc!la gure artcain jamrn1·. Al't¡;niilec cel'en erran joailiarcJ.:i F.ia ctcienez batlm Felipe Araint.i. • D<ii b<ithu ukhen dngu Pette Uhal 't.el \i ; Biec igaraitera beicutie utci, Ari beitcen euria, nabi gahez busli. ~ Cantoren eguiliac eztu ez beldurric J;z hortian , ez etchen, galdec;an anliric. Hat herbera beitcian, erras üaphurtnric, Beste ar1;ain ]Jateki adiskidctnric. ,Ol'ai plinusinn dago beraher ntciric. " Nous allons redire dans la vallée 41:1 Anos scignem·s pasteurs qu'i\s nons ont t.l'Op \ong\.ernps onhlit!es. " J.es pasteurs en s'éloignant leur dirent Si elles n'avaient pas pour les gard~r Philippc i\rainly. "Oui, et nous l'avons '\'ll avec Pierre Uhart; :Mnis tous les deux nous out laissées passer, Parce l(u'il pleuvait Qt par crainte de se mouiller. ~ L'autcur de ces chansons n'a pas :\ crairnli·e De pcrdre des IJrebis, ni dans sa maison, ni sw· ll'H mont•lf(nes. Il en possédait une seule, r¡ui, <levenue volage, S'est nttachée il. un autre pasleur. f elkHnCmc. Désm·mais elle le suit en paix, depuis r¡u'clle se scnt :üia!lllonnnúc :\ J.A DOT PEROUF. . .Je me trompe fort, ou les deux couplets suivants ne sont qu'unc cspece de proverbc, chanté moius par les li.llcs sans 1lot. qn'aux malhcul'cuses aflligécs de cette cruellem::tlatlic appclée par llabelais frmlte <l'argent. Déjit. de son temps on disait: ll En Fr:mcc, on úpouse l'u.rgent, non les fommcs 1, • et dcpuis, la ehose n'a fait que eroit.re et enlaidil'. Les Ilasques 1 sous ce rapport, ne sont point en arriCre 1lc la civilisatiou. ' Trailt iln peines n t1111111ulu, etc., µn lean nuret, fol. 51 r ~r.rn.

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