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CBANSONS lJIVERSES. 411 la fommc du rimeur, qui l'avait r1uitté pour s'attucher iL un aut.re homme. Cett-e piCce 1 oU le caractCre· de la poésic pastora.le est bien sout.euu 1 marche avec gritce, et ne pertl rieu quand l'auteUJ', faisant un retour sur lui-méme, parle d'un ton calme et résigné d'un abandon qui eUt excité la bile tl'un autre. Un pareil abandon n'était point chose rare autrefois chcz les Basques, pendant La cohabitation qui précédait d'ordinairc le sacrement. « De toutes lcurs coutumes, dit un écrivain du milieu du XVII"siCclc 1 la plus loüablc 3. mon gré, et la plus digned 'cst.rc suivic <le tout le monde, c'estqu'icy il y a novitiat dans le mariage aussi bien que parmy nos moiues. Aprés avoir couché un an ensemble, si .Jean HC plaist pas U .Jeannc, ny Jca,une U Jeau, ils sont libres de se quit.tcr ; et panny les paysans on voit tellc filie, qui a eu r¡uatre ou cinfj maris de cette maniere, sans 11ue pour cela elle en soit dcshonorée 1• > AIH.JAÑE NEGLIENTAC. (suberot.rra.) Belhaudico hortian orgambidesc-olha, Bere descantsiala han ardiac alha, GoilJ<ln igorten tic olhape behera, LES PAS'i'EUns NÉGLIOENTS. (D!ah4to aoul•tln.) Sur le mont Belliaudi (est) un chalet avec charl'iere ll, La tout a leur aise paissent les brebis, Le matin lancées au-dessous du chalet, 1 Amitie., a1110Hrs,el amortretús, par M'. Je Pays. Amstcrdam,1693, pelit in-12, letlrc ll, ¡1.5. • ll estkregreller que l'AcadCmieaitrépufüicemnt,cncorcusit6dans les prnvioces, H faisaitautrcíois partiedenotrcilangue: Pnis entraen une charriere, Quitozjorsava.ntloumena,elc. ( Do Cllevalier iJ l'espée, v. 65. - Nou~tall Recueil de (abliau:i: et c1:mtes, cte., t. t••, p. t2~l) EtGau\•aln J'a apri:s íeru... Siduremcnt, si con moi scnblc,