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SATIUES. 381 sigualer toutes; niais je dirai un mot d'nue cornposition pareille due ti Folr1uct de Lunel, l'un de HOS t.rouUadolU's. C'cst mie satirc gé11érale des rnmurs de tous les états, depuis l'empereur jusc¡u'aux anbergistes de villagc: I[ L'empereur, dit le poete , exerce des injustices contre les rois, les rois coutre les comtes; les comtes dépouilleut les Uarons, ceux-ci lcurs vassaux et leurs paysans. Les labourcurs, les Lergers font U leur tour d'autrcs injustices. Les gens de jouru~e ne gagnent point !'argent qu'ils exigent. Les médecins tuent au lieu de guérir, et ne s'en font pas moins payer. Les marchands, les artisans sont menteurs et volcurs 1, " cte. Je eiterai encorc uue jolie boutade ronmfr¡ue publiéc par M. de Marcellus, qui l'a intitulée le Choix di/licite 2, et, reveuaut a la piecc basque, je fcrai remarqucr que finesse d'observaf,ion, énergie de style, t.out se réunit dans ce morceau qui présenie le ton de la bonnc sat.ire. UHIGIO GENDAl'l'.b:N Gl\!Tlf::A, ( Si:.boro~arra.) Oi lalmraria, gachoa ! lüham('C jathen Ul'lhoa, Ogui et' ardo gueñhatcen auherren asetceeoa, Halero haiñ hale maite noula art¡;aiñac otsoa. Arcaifm bada bcztitcen, josliac tu gomendatcen t::aragoilen aldenli hat oihal l.tobez c<;m· dccen, llalere higaturcn du aitcinia beno !citen. S.\""l'IRE DES Dll'FÉUENTES Pl\Ol'ESSIONS. Op:wvre lahum·m11· ! tu te nourris de méturr, Tn rücoltes lo froment et le vin de quoi l'assasicr les ,·auriens, Et encaro on t'aime c01ume les bcrgcrs les loups. Quand Je pasteur s'habi\\e de ncuf 1 il recommande aux couturiC>ros Qu'm10 moit.ié de ses culottes soil en étolfe plus fortc, [tic antéricnrc. fü (ccttc moitié), malgré ces préc<Jutions, sera plus vile usée. que lapar- , HistoirelWtrairedestro11bmlo11rs, t. 11, p. U'.l-14.t. Voycz rncorc t. 111, p, 78, 26"1,26't. • Chants du pe11p/e en GrCce, t. 11, [l. 321N23.

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