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SAT IUES. Sastrinc cman ornen t.lu bertsu neretaco; Arropa charrnc dutlala guizon prcstutnco. Ez tlic cz eguiten nrropcc guizona, Dere lJaitharic ez hadu fundamenta ona. Iruñen nindagoelaric San 1"ermin eirian, Fermin portalcpian, Nararrerian, Sastre pica.ro hori han c;agoen guardia , Gogoan heitzerocan picarderia. Le taillenr, dit.-on, a fabriqué des rimes a mon adrcsse; 387 {Il prélend) que pour Ctrc honnetc hommc j'ai des hallits tro1>misé– (Appremls tlonc) non que les habits ne font pas l'hornme, [rabies. S'il n'a dans sa propre personne des mériles réels. Me trouvant á Pampelune vPrs la fét.P. de Saint-l<'irmin, Sous la porte Sainl-Firmin (<i. Pampelune}, \rille de Naval're, (.Te vis) ce pel'l1de Lailleur s'y tcnant au guet et en senünelle, S'y tenanL au guct et méditant quelque dessein perfide. LA FA USSE .'d~CUSATION. Artumtnt. La chanson suivante a été composée pour punir unjeunc homme et une vieillc cuisiuierc qui avaieut accusé, auprCs de leurs mal· tres, un pauvrc bardo d'avoir mangó le matou favori de la maison égaré depuis quelque temps. L'animal, par son re.tour, fit ccsscr tous ces bruit.s calomnicux. Un le sa.it , le poCte populaire s'éfove asscz rnrementjusqu'aux idécs générales : toutent.icr a l'action qu'ilracoutc ou a.u sent.iinent qu'il cherche a rcndrc' il songc peu a détcrminer les lois qui les régisseut. l\ y a done lieu de signalcr les deux premiers vcrs <lu troisieme couplct et la vérité moralc qu'ils exprimcnt.