BCC001198-6-14000000000000000

SJ.TIRES. Harlcen ba<luL gorria, Hura dukct hordia. Hartccn ba<lut chomía, Hura bcraz el'ia. Ezcoudiac, ezconduric cgon r:aizte nigarrez. Sohera dut Jaincoari cskcr nii.; hola cgoncz. Si je prcnds la rouge en c.:oulcur, J'aurai ccllc-lá Jmvcu!ic. Si je prcnrls la piilc, Je raurai maladi\'e. O mari~o! plcurez de wus Otrc m<1l'Ü~s. J'ai tropú remire gril.t:C'S ti. Uicu cl'étrc restó Lcl1¡ue je :mis. AUX MENTEUll S . 3¡;; '1h¡.úÓr¡, µ:i, ·~iúóe' , ir:iaT/.(¡u"º' ari:f« oirr¿i'I. OV '¡ii.p ini ~ov8foat r.«-riip Zo•J, lar:n-r' Upw76;. {lli<Jd., 1i1·. IV, 1·. 404, 235.) Ce r1u'JlomCre dit avcc la gravité dont il se dépa1·t si rarcmcnt, un coblacari Lasque le développe sur le ton de la satire. 11 met en scenc trois menteurs : le prcmier 1 Longue-langue, cst un hitbleur qui semble cultiver gratuitemcut la fiction, a l'excmple du comperc de la vieille chanson des Mariniers de la Meuse 1 ; le secoml 1 Ventru 1 est un pa.rasite qui fait sa cuisine en forgea.nt des histoires ¡ Barbe-rouge, le troisiCme, donne des entorses 3. la. vérité pour en donner a l'honueur des filies : c'est celui-fa dont il faut davant.agc se ga.rer. ' Elle~ étén(lpOrtCeparM.O.Dcle¡iierre, <fansson .llacaro11émrn, cte. Jlaris;MDCCCLU, in-8",11.'U.

RkJQdWJsaXNoZXIy NDA3MTIz