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SA'l'l.RES. Hirm calota batiat : Hire sagorroi larruzcoaz beharric hatere eztint. lhauretaco begnira ezac, joaiteco ohiarat, Petiriekin lotcerat. Idiarte ñaplrnrrac Eta Beñat auherrac Hola i;utien algarri eguin caresa etlcrrac. Gaztiac maite lan eguina, Peti1·i Santzcn lngnnne; Khuüac gueiac nescatilac. Bai, jente hounec erri, Coblac beitira berri. Airia eta cguitatiac i;aharrac i;aitzat iduri, Aulrnr edo nescatilekin Petiri Santzcn nsknci; Hola hethi dut ikhoussi. J'ai trois honnets de nuit : Le tien en pean de hérisson me serait inutile. Héserve-le pour t'en coilíer le soir en te mettanl au lit, Et pour rlormir avec Petiri (Sant.z). ldiart le gal<lntin Et Bernard le libertin Ainsi mutuellement se faisaicnt de beaux complimcnts. 3u9 La jcuncsse qui aime le travail fo.it , am·a pour compngnon PRtiri Santz; Qui veut. devenir gendre tloil. aimer les fil!es. Oui (et autour d'eux) les honnétes gens <le rire A cause de la nouveauté de cette poésie. Quant a moi, le ton et la chanson me paraissent <le longnc dale, Le;;; parcsseux aussi bien que les arnateurs de fcmmcs parents Je Ainsi toujours je l'ai vu. i Peliri Santz; LE PRJ~TRE CHASSEUR. L'aut.eur, au délmt, cxpose son dessein, qui est, dit-il, de passcr le t.emps; il n'est pas moins sUr qu'il a voulu fuirc une sat.irc des mmus mondaincs de ccrt.ains prCtres de son époque. A ce compte, cettc chanson ne serait pas ancieune. 24