BCC001198-6-14000000000000000

CITAN SOXS ~10llAJ,ES. Nous avons trop de peine ezin bizit::ia : PlulOt que d'étre ainsi, hobeda hilzia. i.a divine Providencc nahidti arabere~ Que les douaniE'rs soient cargaturic haurte;, Hienl.ót nous faut aller Algererat hoitrrez, Vour voir dans ce pays·IU deus ahal dugutu;. Pour réi::ister jom· et nuil oi manera hountan Pendant vingt·cinq ans oraico mendelan, 11 faut ce temps pour Ptre admis erre/retan: Ah! ífUi pourra y parvenil' orafro r¡iwrdelan? Nous avons trop de peine a pouvoir vivrc : Phttót qne d'étrc ainsi, micux vaut mouril·. La tlivine Providence veut sans aucun clonte Que les clouanicrs soient chargés cl'enfantf'. Dientót.nous faut aller a Alger par me1·, Pour voir dans ce pays·hl. si nous pouvons qurlquc chosc. Pour résist.er jonr et nuit de cette fa<;on Pendant vingt.einq ans dans !('. vasselage actuel, n faut ce temps pour étre admis a la retraite; ~lb7 Ah! qui pourra. y parvcnir parmi les douaniers d':mjotn'fl'lrni? OIAl.OGUE ENTRE UN PARESSEUX ET UN vrnux GALANTIN. Da.ns la pieee que l'on va Jire cst t'etro.cée la rencontre d'un jeune <lésreuvré du village de llarcus avec un hommc d'un :igc mlir, de 11-foncayolle , qui poursuivait toujours les femmes. Le barde les met en seene pour arriver a ccttc conclusion, que la paressc, aussi bien que le libcrtinage, engendre la mishe, per· sonnifi~e ici dans l'individu nommé Petiri Sa.nlz.

RkJQdWJsaXNoZXIy NDA3MTIz