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Cil!NSONS MOUALES. Sorho, alhor dunac, lart'8tan Uiraude; Guarder khausitceco gu goregui gaude. i\Iendin artho guti et' ogui gutigo, Guarden hastitceco arrazoña frango. Gau hun, ene tulla, eguigu auhari, Lolmn eguin rlegan erro~u aitari, Aitoren sem' ez naiz, bai aitaren seme, Makil hunec dio i,;oinen uizan hume. Possesseurs de prés et de champs sont dan~ les plaines; 3G5 (Nous) pour vivre en paixavec les douaniers nous sommes trop haut La montagne tlonne peu de mais, de frornent moins encore, [placés. Raisons grandement suffisantes pour détester la 1louane. Bonne nuit, ma mére, soupcz avec appétit, Souhaitez pour moi llon sommeil a mon pCrc. Je ne suis pas fils de noble, mais flls digne de mon pére, Et ce btlton apprendra tlans l'occasion de qui je suis issu. i\Ies chers amis, commcni;:ons bersu.ien (;(tr1fat:1m. :'\ons sommes bien id orni a1agheratzen; n'etre toujours ainsi nulce desirat:.eri : J,e bon vin toutes nos peines tu ahat:era:ztl'lr. Je dois done vous annoncer, oi ene lagunac.' Qu'entiCrement sont passés guarden egu11 onac; Nous llevons passer sur pied gabac eta eg1mac : Ah! nous pourrons bien vendre 0/w 1lilugun11c. L,\ VIE DES DOlfANIMl\S. Mes chers amis, commern;ons a chantcr 1les \•ers, Nous sommes bien ici maintenant nous réjouissanl; D'Ct1·c toujours aimi je désirerais : Le bon vin toutes nos peines fait oublier. Je dois ¡Jonc vous annoncer, ó mes cam:i.rades ! Qu'entiCrement sont passés les Lons temps tles donaniers; Nous devons pm;ser sur pied les nuits et les jours : Ah! nous pouvons hien vendre le:;; lits que nous avons.

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