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35ü LE l'AYS RASQUE. Gubbcn Noach var en hedersman : Le pCrc No~ éta.it un hravehomme : NHr han gick ur arken; ll sortiL lle l'arche, Plantera han pll marken Planta la vigne dans la campagne, Mycket vin, ja,dctt.a Jrjortle han, tte. Qui, et il fü L1·t?s-bien, ete. ( Yalda Skri(tt1' a( Carl Michaet Btllman. Stockholm. l:lenr. Ciust. Nordstri.i1n, 1835-6, in-18, fjerde Dclcu, sld. 80.) Je ferai rcmarr¡ucr cucorc r¡uc la cbanson basque débute de la méme maniere qu'uue bailado et oraison de Villon pour le repos rle • !'ame rlu bon feu maistre Jchan Cotarrl : • Pere Noé, qui plantastes la vigne, etc. ( Ol>"uvres de maiatre 1-·ranroia Yillon, edil. de !11. Prom11snull, p. 104.) L'académicien Gonzalcz Arnao nous apprcml ci.ue le P. Domingo Mcaghcr, t.héologicu et poete de mérite qui florissait iL Valladolid dans la. seconde part.ie du siCcle dernicr, avait composé en :;orzico.~, ou octaves, un poeme hadin sur les propriétés du viu, et il en cil.c cettc st.rophe comme la meillcure : Guizon baL arU.obaguc Hago e1·tlí illú, ~.!armar dabU:r,a t.ripac Ardoaren billá; Balm edan ezquero Ardoa chit ongui, Guizonic chatarrinnc Valiyo llitu JJi 1. URA ETA ARNOA. Noe, legbe zaharroco Ghizon famatuia, Zuc landatu zinuien Lehenic mahastia. Aihen llalius hura, [Ju hornme saos vin Est ~L rnoitié rnort, Sos entrailles mu1·murcnL DemandanL du \•in; Mais aprés avoir bu Du vio en allondance, L'homme le plus chétif Bn vaut lle1,1x. L 1 EAU ET J,E V JN . {Lt.bourdi<>.) Noé, l'hommc célébrc <le la viei\le \oi, c'est par vous que fut plantée Ja premiére ''igne. Qui vous miten téte de fixer dans la tone ce ccp précieux? C\•st lui ' Oitt. gtogr.-hisl. de España, scee. 1, l. 11, p. 344, col. 2, ~rl. San Sebas/iaH.

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