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CHA NSONS MORALES. Ecin c1iot lrnls-1. FJar ~a~u, o Jnincoa. ! Har flnc arima. Banoha, ahl hanoba; Aúio, ene arna. Hne arima g:mda, Berce mundur.t gan, Dohat.i;na 11il bada .Jmmaren bakean. Lnrrean da guelditll Ene gorphutz hot¡;a, Ifarag'erdi usteldu, Hiratu afrusa. .Te ne puis ma respiraticm. ílecevez , ó Dieu ! llecevcz mon ame. .fe pars, ah! je pars; Atlieu, ma méi·e. Mon tlme s'esL envolée, Envolée vers l'autre rnornle , Heureuse si elle cst morf.f' Dans la paix dn Soignm1r. Dans la terre repuse Mon corps glacé, Chair U. moitié consuinet~, Affreuse pourritu1·e. Ile1tcecdautet~'l.lTatcEin D'autres ont fermé Aho gogortua, Ilertcec erriez hesten Begui ubeldua. Mihisc 1tahar baten Barnean gordea, Naute cachan ematen. Oi, nere sortea 1 Oihu suiñez eskil\ac 3fe(]utcen du yadan Ghi9onbat herioc Duela era.man. " Jaincoac dioela )fisericordia ! • 1 liote berehala, Et' horm gncií'l. ~fa bouclie immobile, D'uutres de leurs doigU; ont fcrmé }ifes yeux vitrés. Dans un vicnx linceuil Envflloppú et caché, On me place dans le cercucil. O ma destinée ! Par ses lugnLres plaintes la cloche Annonce déjá Qu'un hommc la mort Vicnt d'enlever. • Que Dien lui fasse Miséricorde ! » Dit-on nussiLOt, T~t Lout est consommé. J.'EAU ET LE VIN. 355 Nous avons tiré ce dialogue du journal l'Ariel 1, oú M. Chaho l'a publié d'une fa<_:on iucomplete, a des~cin it ce que l'on assurc. 'routce que nous pouvons dire de cctte piCce, c'cst.quc le premier couplet n'est pus sans analogie avec ces vers d'une chanson de Bcllman, que Gusfave. m appelnit. son Anacréon suédois : • N° du28sl\ptemhre18i!S.

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