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:l54 LE PAYS l:A.SQUE. Bne gorphutza dago Gaitzac urren fana. Eniz dit:Jzke highi Ene memhro hotgac; Mihia duLloU.i, Ileguiac ¡;orrotc;ac. Yadanic ecin udi Mint.;:o c;aizkidcnac, Erdi ikhusten erdi Nere maiterenac. Hela1hil aintcineco, lccrdi hormatuac Dauskit behin heLico Gogortu mcmhroac. Orduan aphe<;ari Oihn deiharclaca, lliltcen naicela hari, !far de~,an lasterra, Ama ¡;uisco croan !'ligar marrascal'i : Relas ! etsimenean Nigana socorri. .Kriaren othoit{'.a Duela eguitcn, Uaut. askcn lagunt~a Aphcga.c cmaten : n Arima guiril:;tiño' .laincoaren haurra, Hoa, parti hadi, dio Abrumen soñera.~ Dolamenekin guero 1 Cerugo sainduac Neret.1;at bitarteco Dire galdatuac. Iendeac bcll1aunico Ene inguru\..an Halabitr. errat('co :'\l'l'C ingnrntan. Bolsun 11aut Uaratzr.n Chipit.cen bihot~ : Ait ccin diot, hal'tccn Jfon corps se u·ouvc Presqu'entiérement miné par le mnl. Je ne sam:iis plus mouvoir Mes memlJres gl<tcés; Ma li\ngue (aussi j'ai) épaissc, (Et) les yeux hagards. Dúji jo n'entends plus Ceux qui me parlent, Je ne distingue qu'it dcmi Cenx qui me sont les plus chers. Hólas1 pronostic de mort 1n·i>sente, La sueur glaciale M'a a jamah; Endurci les meml)l'es. Alors au pl'éti·c Appels empressés, Que je me meurs Et r¡u'il se hdte. Ma rnürc s'aliandonne Aux lnrmcs en sanglottant : Hélas ! dans le <lésespoir Les larn1es sont un seconrs. Les priiJres des mourants Me sont app!iquées, Et lPs tlerniers sccours Le prl\tre me les :ulrninistre : « Ame cht·1Hilrnne, gnfant du Seigneur, Va, pars, dit-il, Au sein U.'Abraha111. • Tristemcnt cnsuite, Les 1;aints du ciel Pour moi interces¡;eurs Sont invoqués. lit le peuplc a genoux (Esl} autour de moi, l'o111· répondre <m1m1 Autnur de moi. Mon pouls s'nrrClc, Mon coom· se rc:scrl'~ : Ah r je ne puis ph1s, prl"ndt·c

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