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:UES MÉDITATTONS. La fin est hors de proport.ion et m&me de vrai~emblance; je serais tenté de la croire ajoutée. F.l"R G06UE'I'AC. ( Lapbutt.&na.) Mcm1i tic nola doha Ura ixasorat, Hala ni bnniola, Lasterra, tombarat. Acahoda acabo, Neretga.t dembora; Danoa seculaco Hilen hen itara. DilLloxari otsoa Nola 1)3iO IOLCúll, Ananoac usoa Nola baitu hartcen , Hala nau herioac C:rudelki SC3ilcen. (Ji! ncre heiagorac l~ulu cz unkitcen. Aspaldia:u Iuiletan Nacarken sartu3 Hilherrirat naram3n, Min pOliOatua. Dolorezco ohe3n Orai it:tatuu, Senditcen dut ~ñei...111 Odola hoztua. Sego nola b3it.u Su gorriac urtccn, Hala ene bicia du Gai{.(;ac iraunguitcen. Ezdut ez guehiago Scnditcen biciric, Hil !mino lehenago Hila naiz ya danic, Trnnco baten pareco, úlwan et~nrra, MES ~rtnJTATIONl'. Telle que lle nos moutagnes s'cn va L'ean vers la lllCl', Ainsi moi je marche, Rapide, vers la tombe. ll cst passé, il cst passé Pour moi le temps (tlc Ja \'iC); Je vais poul' jamais Dans le pays tles morls. Commc .le loup enlace La jeunc brcbis, Comme le vautour Saisit la colombe, Ainsi la mort Cruellement m'étreint. Hélas ! mes cris déchirants Ne peuvent pas la touchc1·. Depuís longtemps dans mes os (Je porte un mal) pénétrant Quim'entraine a larégiondesmorts, Mal impitoyable. Sur un lit de douleur .Maint.enant t'ltcnclu, Je scns dans mes \'CitH'>' Mon sang se glaccr. Comme la circ se scnt Couler par Ja flamme , Ainsi ma \'ie devien t l:onsumóe par la maladie. ~on, non, désormais Je ne seos plus de vie, Avant le lt'épas .re suis déjU mort. SemblaiJ\e it un tronc U'arhrc, IÜcmln sui· sa coucho, 23