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J,E PAYS RASQUE. Suieta frnngo banuke; bainan presatccn naiz finitcera. Monte-Bideorat jin ninti;an cantu hauien mohlntcel'a: O chala! juan banindadi Baionarat cantatccra ! :\fatiCrc amplc j'amais encare; rn:lis je m'cmprcsse de finir. (Dans la \'i\le) tle !Iontevicleo je me snis rcmlu pour composcr ces P\Ut l\ Dieu que je pussc nller it Buyonnc le!': chanler! fchants: MES MÉDITA1'10KS. Les vers qui suivent sont d'un jeune pretrc de Cibourc, nommé Carnoussary; il les composa dans les tlernieres périodes <l'une rnaladic de poitrinc qui l'enlcva, a la flcur de l'tlgc ) h sa. mere' veuvc, et dont il était, a ce qucToll assure, l'trnit¡ue sout.ieu. Cettc piecc pourrait prbter a une notice litt,érnirc étendue, pour peu que l'on voulút la comparer avec les élégies r¡uc 'I'ilmllc t, Millevoye 2, MaUllUtre, GilbeJ't et d'autres poetes de l'école mélancolique du XIX• siCcle, ont eomposées sur un sujet sem– blable 3• Il cst fort doutcux que le pauvre Camoussary en ait en eonnaissance, et parfaitement. súr qnc c'cst sculcmcnt par hasanl f[U'il s'est rencontré U son délmt ::wet uu poi;te l'Om<llque, qui foit ainsi parler un infortuné : " Voycz ce flot et l'autrn comrno ils vont tl'un pas égal vcrs l'Océan, leur inévitallle tomheaul Je vais comme eux moi-memo. Je n'attondn et n'espi! re.qn' une tombe ouvertc \ » etc. D'un pretre, on devait s'attend!'e a Ull chant de délivranec et presc¡uc d'allégresse, et l'on observe avec étouncmeut dans ses vers ce ca.ractCrc particulicr de la poé~ie rnatéJ'ialistc, la. préoccu– pation exclusive du jeune poete a décrirc sa maladie. 'Élég., liv. IU, Clég.11. A cUté de l'élégie de Tilrnlle, ou peut placer unepiCcc ch:1r– manlcdcGcclhe, lntilulée Je 'l'ombeau d'Anarrto11. 'Eiég., liv. I , /aChule dufeuilles. • Voyez cncore une ch:rnson ilcossaiseen dcux couplets, intiluléc: lhe SO/lg of Dea/11, t¡uisc trou,·e<fanslhe Ca/edonianmusical Rcperlorv, cte. Etlinlmr¡:h: printed hy Olh'rf & Co.,180G, in-12, [l. -ifl, 47. 4 Chaut.~ d11 pe-11.ple en Grtu, par ~l. 1lc Marullus, !. 11, µ. 1'.!!).