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346 Lt: l'AJS SASQUE. UllllUN.\CO l'HESTETAN. Lchen predoa. ~llUIAN OUEN CAllTUA ; B, CELH&DE UARD-OZT.l.RRAC EGUJ~A l, Entt;unic espantutan lndien bel'ria, Deldurtu ere gabe othe den eguia, Montebidorat noha cembait urtherern;at, Aisia bildu nahiz azken egunent<;at. Ez nanean hainitz cela herrilic ioaitea', Guti nakicn cer cen nigar cguitea. Untcirat nohanean, orai dut sentiteen Damuaren cztena bi11otccan sartcen. llertce aldiz oihoar.kigun irritan egunac, Tristeric orai Llit11t aldean lagunac. Adiotarat <;aizkit nigarrez hurbiltcen, Iduri naiotela bethicott¡at hiltccn. ~01· lckhuan njtu{ln esteca guciac ¡ t:ONC.OURS n'unnuGNE. Premier prix. 1:1lUT CO!IPOSÉ PAR. B. CELHA8~ 1 IJK llAHUOS. (D!alect. labourdln.) Entcndant vantcr le rcnom des ludes, Sans méme douter de sa vérité, Pour Montevideo je pars pour quelques années, Voulant m'assurer du bien-étre pour mes dernicrs jours. J'ignorais combien c'est grande affaire de quit.tc1· :.;on pay:.;, Je savais moins encorece que c'est que pleurer. Me rendant a mon vaisseau, maintenant. je comprends Que malheureux est qui ne sait rentrer en lui-mémc. Autrefois mes jours s'écoulaicnt dans la joie, Maintenant tristes á mes cOt{~s sont mes compagnons. Pour les adieux ils ne m'approchent. que dans les larmes, JI semblc qu'ils me conduisent pour jamais a mon tombeau. Au lieu de ma naissance j'avais tous mes Hens; 1 I::xtntH du.Meaaa9cr deSayo1111c,

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