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Ll:: l'!YS llASQUE. populaire, qul présentent les caracteres condamnés pal' M. Saint· Marc Girardin , que tlans les vers de Boileau et des auh·p:~ versilicateurs de son école. TIInATA SAN JOSEPHENGliERNl'l'ARA. (S11b6rrohrra.) Choritt.oua, nourat houa, Bi hegalez airian ? Espaíialat jouaiteco, Elhurra duc bortean : Algarreki jouanen gutuc mhurra hourtzen denian. San Josefen ermita Dcscrlian gora du. Espaí1alat jouaileco, Han da goul'e pausado. Guibele1·at so 'guin ct.1 Hasperrcnac ardura. 1fasperrena, habiloua i\faitiaren bortltala. Ilihotúan sar l1akio Honra eni he<::lla, Ht.a gncro erran izoc Nic igorten hai(laln. VOYA(;P. ... r,'sn:mTAGE DE SAT!\T •JOf:F.PH . {Di6lect& so11leth>.) Oü vniHu, petit oiseau En l'air sur tes deux ailes? Pour aller en Espagne, La neige couvre les montngnM : Ensemble nous irons Quand la ncige fomlra. .L'ermitage de Saint- JO!;cph Est élev6 duns le tlés<>rt. Pour aHer en Espagne, LUse trouve le lieu de notrc hall.e. Hegardant en arriCre, ~'réquents sont nos soupirs. Soupir, va-t-cn Jusqu'á la porte de ma hien-aim~l'. Pénetl'e tlans son C<I'ur Comme elle est dam~ le mie11, l'uis tu lui diras Que moi je t'envoic \'Prs ello. LA S 1R8N F.. Ce fragment, douné par M. Chaho dans son l'oyage en Na– varre 1, a le tour (le ccrtains sonnets de Pótrar<¡uc et ~emhlc imité de r.c charmant. couplet. d'une ancicnne chanson frn.ni :aisc : Uoucc 1lame, comtossc chastelaine lle Lout vo11\oir, qui sevrance m'est gl'iez, Si est de vous cornme de la serníne, 1J11i pai· t;Oll chanta plusieurs engingniez. ( Ci!les le Vinícrs : Aler m'tstuet, ~le. (Essai sur l1i lllU!ique ancitnne et modcr11e, de Labor.!" , l. 11 , p. '231 ) A cctt.c 1!poqnc, il 11'est point. rarc: de r('ncontrcr ehez non.;; de~ ' Cha1i. ll, p. ,¡1, ii'!.