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LE l'AfS llASQUE. Li uisillons du yert boscage , Quant il est pris et mis en cage, Norris moult ententivemcnt Lcans delicieusement, Et chante, t.ant cum s1mt vis, Uc euer gai, ce vous est avis, Si desirc-il les bois ramés, Qu'il a naturelment arnés, J<~t vodroit sor les arbres estro, Ja si bien ne l' saura l'en pestrc: Tous jors i pense, et s'estudie A recovrer sa franche ''ie, etc. (U lwman de la Rose, édit. de Méon, !om. 111, [l. 6, v. l.J.147.) .Je me sens encore venir U. la mémoire ce.s vers . touchauts de Théodore Lebreton, le pauvre ouvrier de Rouen. Sous l'image d'un oiseau que Dicu fait naitrc libre, mais qui, il. peine éclos, se voit saisi par la main sévCrc de l'homme et privé pour toujours de la liberté, le poCte y fait allusion a son sort ; Que je plains son destin t il est captif... Sa cago Est pour lui \'univcrs : il ne ''erra jama.is 'fout l'éclat d'un ciel bien , ni l'ombre du bocage, Les fleurs que le printernps jetLe sur son passage, Ni l'arbre immense des foréts. JI ne s'unira point a la troupe joyeuse Des siens, que nous voyorn; s'élever dans les airs; Et lorsqu'ils chantf.'\ront la nature amoureuse, 11 ne mélera pas sa voix mélodieuse A lcur délicicnx concert. ll eunnaitra bientol sa funeste disgrd.ce; &m aile faihle encor commencc a s'agiLcr: Unbonfusilbroméparlafumée, ctpuis La liberté sur la monlagnl'. Voyez dans le reeucil de M. de Maree!!us, t. I, p. 280-285, un cliant grec d'un jcuuc ¡mete eivilisé,qui s'cst pcut-ttre inspiré de J'auteurdes Orienta/ea. -Un e!Jansonniet· parleainsitlesÉcossais: The slave's spiey forests, and gnld·bubbling fountains, The!JraveCa!edonian viewswi'disdain: llcwandersas freeasthewindonhismountains, Save love'swillingfetters - theehainsofhislcan. (Tite Ga/edoni11nmusic11l lleposilory,etc. Edinburgh ¡1riulcrl !JyO!her:mtlCo.1806, in·Sº,11.V.J

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